3 joueurs, 7 dominos chacun. Les 7 dominos restants forment la "botte" (talo). Les dominos sont mélangés et distribués de manière strictement aléatoire à chaque manche (mélange de type Fisher–Yates) afin de garantir l'équité.
Le joueur possédant le double le plus fort (6-6, 5-5, etc.) commence la partie.
Le jeu se déroule dans le sens antihoraire. Si un joueur ne peut pas jouer, il passe son tour. Il n'y a pas de pioche.
Une manche se termine quand un joueur a posé tous ses dominos, ou quand le jeu est bloqué. Celui qui a le moins de points dans sa main gagne.
Il y a la voie royale, simple et efficace, et des variantes « maison » qui pimentent le Dômy. L’idée : on comprend vite, on sourit un peu, et on joue sérieux.
Le premier joueur (ou équipe) qui atteint 120 points remporte la partie. C’est la manière la plus classique — et la plus propre — de gagner.
Déclenchement : quand ton total cumulé atteint 120+.
Effet : victoire de la partie.
Il existe aussi des règles spéciales qui font tout le fun du jeu malgache. Elles apparaissent naturellement quand les conditions sont réunies.
Poser le 6‑6 en dernier pour plier la manche… ça pique, on ne va pas mentir.
Déclenchement : ton dernier coup vide ta main et c’est le 6‑6.
Effet : victoire immédiate de la partie, sans ajout de points (scores conservés).
Marquer 60+ pendant que tout le monde reste à 0. Conseil : ne dors pas au début.
Déclenchement : après comptage, ton total atteint ≥ 60 et les adversaires sont à 0.
Effet : victoire immédiate de la partie.
Une tradition locale, simple et imparable.
Déclenchement : tu gagnes la manche et la somme des points restants chez les deux adversaires vaut 1 (0 et 1).
Effet : victoire immédiate, sans modifier les scores.
Mettre 50 points ou plus d’un coup : gros impact, gros respect.
Déclenchement : les points gagnés sur la manche sont ≥ 50.
Effet : victoire immédiate de la partie.